Vendredi 7 novembre
On a eu vent d’une petite représentation de musique classique à Katara, une petite formation qui joue des adaptations de fables d’Esope, destiné aux enfants. C’est une occasion de sortir, donc on y file… Il n’y a pas grand-monde, c’est parfait!
Les filles sont ravies, elles y ont retrouvé quelques amies; en plus c’est toujours sympa d’écouter des instruments en vrai! Louison est elle aussi fascinée…
Comme évidemment on est dans un coin où cela fourmille de bons restaurants, on choisit de faire un tour et on réserve une table chez Mamig, le restaurant arméno-libanais que nous avions déjà testé il y a quelques semaines…
Mais il y a beaucoup de monde, une heure à tuer, on se promène donc dans les ruelles et les petites expositions qui parsèment le site de Katara…
On retourne au restaurant, et on s’installe enfin… comme d’habitude (ça devient vite une habitude quand c’est bon!), on se régale. On choisit des plats que nous ne connaissions pas pour la majeure partie, histoire de faire le tour de la carte (il reste néanmoins de quoi faire pas mal d’autres tests)
Ces deux desserts sont d’ailleurs à se damner: une sorte de riz au lait à l’eau de rose et ce mouhallabieh proche de la perfection seront vite engloutis par quatre gourmands… et dire que dans quelques années il faudra partager à cinq, quelle horreur!
Un bon café arménien pour terminer (équivalent à son homologue turc), et on part digérer sur le bord de mer. Il y a une exposition scientifique avec des fruits musicaux et des jeux d’assemblage électrique que les filles apprécient, une exposition photo sur les différentes écoles du monde (on y retrouve même des écoles chinoises identiques à la nôtre), bref, de quoi se changer les idées…
Il est désormais très tard (à 21h le soleil est couché depuis 5 heures!), il est temps de rentrer se coucher avec la traditionnelle image de la température… ça devient un peu frisquet!